Nuit
d'ivresse
Je
ne sais plus quand ca a commencé mais je sais ou
ca a fini. Je ne me souviens plus trop ou non plus. C'est
un de ces soirs ou les vices vous ont embourbé les
sens.
Ma
tête imbibée ne me sert plus qu'a admirer ce
regard angélique qui sourit à chacune de mes
paroles désordonnées. Seule la partie de mon
corps située sous la ceinture semble réagir
aux provocations salaces de ma nouvelle copine.
Le visage tuméfié je réponds par des
sourires ébétés et figés.
Je ne sais combien d'heures après, nous marchons
dans les rues de Paris en direction de ma chambre de bonne.
Je suis toujours surpris d'observer que malgré un
taux d'alcool élevé, il reste encore en moi
un regroupement de neuronnes pour me signaler que le froid
est saisissant, que mes pas deviennent incertains et que
les fesses qui se déhanchent devant moi me font sérieusement
bander.
On arrive enfin. 
Magie de la Tequila, il n'y a plus besoin de paroles inutiles,
de préambules et de balbutiements à rallonge,
juste l'envie de se réchauffer mutuellement.
D'ailleurs pour être sur de nous serrer encore longtemps
j'ai laissé la fenêtre ouverte. On se déshabille
lentement.Il faut dire que ce moment de découverte
est un bonheur. Improvisation obligatoire je déchire
quelques teeshirts pour pouvoir attacher ma jeune asiatique.
La scene est amusante car dans ce douze mètres carré
je n'ai que peu de points d'attache, et la siamoise se retrouve
inévitablement crucifiée devant moi.
Ce qui ne semble pas la gêner outre mesure.
Le vice est maître, je l'ai placé dos à
moi.
Je
devine cependant aisément ses petits seins durcis
par le froid.
Quelques caresses furtives et je me retrouve très
vite a embrasser le creux de ses reins, puis ses fesses.
Le balancement qui s'acompagne me laisse deviner que je
peux encore m'immisser un peu plus, et avec ma langue lui
lecher l'anus.
Elle en veut plus. Son pied est venu se poser sur mon épaule
et elle m'offre son vagin maintenant.
Dans un balancement frénétique d'avant en
arrière, elle soumet à ma bouche tantot son
clitoris tantot son anus. Son souffle s'accélère,
son va et vient aussi. La pression sur mon visage se fait
plus forte. C'est la jouissance.
Elle voudrait se faire pénétrer. Je m'amuse
à lui caresser les fesses avec mon sexe. Elle
cherche aveuglement la pénétration que je
ne lui offre pas.
Son corps se plie, se déhanche, se contorsionne afin
d'obtenir son désir.
Toujours derrière elle je me joue de ses fesses,
me presse contre son anus et lui laisse diriger la pénétration.
Le
désir est sauvage, elle execute aussitot un recul,
un cri, un éclair dans ses reins.
Elle essaye de limer à sa guise, mes mains sur ses
hanches la bloque. Je lache tout et dans un élan
frénétique elle recommence son va et vient.
Je profite pour m'enfoncer chaque fois plus, progessivement
ma queue se retrouve entièrement dans son anus. C'est
mon tour de jouir.
Le
réveil est rude, le mal de tête, la gorge sèche,
la langue pateuse, et déjà plus qu'un vague
souvenir. J'ouvre les yeux, je comprends immédiatement
la cause de ce fantasme asiatique.
Devant moi une étiquette, "Made in taiwan". C'est
celle de ma poupée gonflable.
S. |